Dans l’antiquité on appelait ces jeunes filles des Pythies, la plus part du temps c’est vrai c’était des jeunes filles, sans doute parsque dans un monde assez guerrier, la femme avait un peu plus le droit à sa part de sensibilité. Car il faut être un super sensible pour accéder à d’autres univers, ou du moins ressentir des vibrations différentes et invisibles.
À l’origine, la Pythie rend ses oracles une fois par an, le 7 du mois de Bysios, jour anniversaire de la naissance d’Apollon. À l’époque classique, les consultations sont mensuelles et ont toujours lieu le 7(chiffre spirituel).
La Pythie se tient dans l’adyton du temple, assise sur un trépied sacrificiel après s’être purifiée avec l’eau de la fontaine de Castalie, et avoir bu l’eau de Cassotis ; elle mâche des feuilles de laurier et tient un rameau à la main. On a longtemps cru que, cachée aux yeux des consultants, la prophétesse tombait en état de transe, comme possédée par le dieu ; on expliquait cet état de transe par de prétendues exhalaisons sulfureuses ou des gaz toxiques, le pneuma (en grec πνεῦμα, le souffle), qui seraient sortis d’une faille géologique, mais fissure et exhalaisons relèvent du domaine de la légende.
Un géographe a montré qu’il était impossible que des vapeurs se diffusent dans le téménos. Le témoignage de Plutarque qui fut prêtre à Delphes est digne de foi : il n’évoque qu’une « odeur agréable, comme si des souffles comparables aux plus suaves et aux plus précieux des parfums s’échappaient du lieu sacré ». La possession de la Pythie par le dieu, ce qu’on désigne au sens étymologique par le mot d’enthousiasme, est en réalité un état de grâce résultant de la parfaite observance des rites, et la prophétesse ne s’est sans doute jamais départie d’une dignité tranquille, aux siècles de l’apogée du sanctuaire de Delphes, aux VIe et Ve siècles av. J.-C.
Ses oracles sont incompréhensibles pour le commun des mortels, et doivent être interprétés par des exégètes, prêtres qualifiés, présents à la consultation, qui remettent ensuite au consultant une réponse écrite.
On vous explique tout sur comment les mediums d’aujourd’hui font pour avoir leur dons, comment ils les travaillent, comment ça marche tout ça, (moi même j’ai ce don depuis l’enfance) :
Le medium vie entre deux mondes, celui du vivant (la matière, le visible) et celui des morts (l’âme, l’invisible, les mondes parallèles); il fait le parallèle entre les deux.
Mon expérience personnelle : Voir aussi ma page sur la mort.
D’abord cela commence des l’enfance la plupart du temps. Les enfants medium découvrent leur dons entre 6 et 7 ans. Moi ce fut 7 ans, mais j’avais déjà des prémisses de vie antérieur à 5 ans. J’avais des ressentis très puissant sur ce qui m’entourait et bien sur je fis mes premiers rêves prémonitoires à 7 ans. Je vis mon grand père mourir chez nous à 2 semaines d’avance. Et c’est là que tout à basculé.
Dans ma famille un arrière grand-père était soucier et guérisseur (un coupeur de feu), ma mère croyait en certaine choses aussi, mais c’est surtout moi qui ait ouvert la voie.
Certain nous appellent des enfants indigo (ou enfants medium), reconnu au cours des année 70 par la thérapeute Américaine Nancy Ann Tappe.
C’est vrai que comme ces enfants, j’avais un gros problème avec l’autorité que je qualifiais d’injuste, de patriarcat, d’avilissant, de destructeur, je suis intolérante à la méchanceté et à la connerie humaine, intolérante à l’injustice… On veut sauver tout le monde et nous même tout le temps. J’aimais tout le monde, la nature, les animaux, la vie.
Je ne comprenais pas pourquoi il y avait un tel décalage sur ma vision des choses par rapport aux autres enfants ou aux adultes.
J’avais terriblement peur du noir car j’y voyais réellement des gens dedans qui venaient me demander des choses et j’hurlais des que ça arrivait. On est extrêmement empathique et on vit par effet miroir les émotions des autres. Ce qui n’est pas facile à vivre pour nous, ainsi nous nous isolons souvent.
Mes parents devenaient dingues et ne comprenaient pas pourquoi ça m’arrivait régulièrement. Si je restais seule dans un endroit, à un moment quelque chose venait me voir, alors je courrais pour retrouver les autres humains pour m’éviter d’être en contact avec ces êtres étranges qui me faisaient peur.
On est des enfants rapidement matures, qui ont besoin de comprendre comment la vie et la mort fonctionne, ça nous rassure pour ne pas devenir fou. Mes parents pensaient que j’étais folle, la première chose qu’ils ont voulu c’est que je fasse ma communion à l’église pensant que je pourrais être possédé par le diable, puis j’ai vu des psy (c’était plus simple).
Dans les deux cas rien n’y a fait. J’étais la victime du paranormal et personne ne pouvait m’aider.
C’est vrai que j’étais assez solitaire avec une santé très fragile, vu que j’ai failli mourir à 3 ans. Je suis insomniaque, j’ai du mal à dormir la nuit, je ne suis bien que le matin lorsque le jour se lève. Je dégage beaucoup d’énergie et donc j’attire les âmes qui m’en récupèrent pour se matérialiser dans les rêves ou dans la réalité (dormir c’est le moment où on lâche tout dans la tête et le corps, c’est pour cela qu’en général les messages arrivent en dormant), parfois ça venait dans les moments où je me sentais tranquille, en paix.
Quand j’étais petite ces âmes venaient n’importe quand et parfois elles me faisaient du mal, une nuit je me suis retrouvé à l’envers dans mon lit et en train d’étouffer dans mes draps… C’est la pire nuit que j’ai eu à 7 ans. Certains me griffaient le dos, le lendemain j’avais vraiment des griffures dans le dos, des blessures étranges, alors que j’étais incapable de me le faire à moi même.. Bref c’était l’enfer et je faisais tout pour ne pas dormir, pour ne plus les voir… Mais j’étais tout le temps fatigué !! Ils venaient sans arrêt quand j’étais jeune!!… Aujourd’hui je les sens arriver mais je sais leur dire de partir et leur dit Non, pas aujourd’hui, ni demain, ni jamais… C’est moi qui décide ! Je suis sans doute beaucoup moins sensible qu’avant.
Et si je suis ok alors on parle, je fais en sorte de maîtriser ces échanges, ils ne me contrôlent plus comme avant.
Je sais leur dire, que je ne peux pas toujours faire quelque chose pour eux.
Alors ils partent et parfois ne reviennent plus pendant un moment, je ne voulais plus les aider.
J’ai fini par ne plus voir les morts, mais voir les vivants qui allaient mourir, tomber malade gravement, avoir un accident grave ou se suicider… Moi j’ai préféré aider les vivants, plutôt que les morts.
Henry Vignaud nous parle de son enfance et comment ses dons se sont développés, c’est lui qui m’a fait comprendre certaines expériences dans ma vie, car comme moi l’invisible chez lui s’est manifesté à l’age de 7 ans et son expérience est troublante de ressemblance.
Voici le reportage d’une médium très connue en Amérique, sa vie a été illustrée dans une série TV « Medium », tant elle a fait de choses incroyables pour la police. Céline Boson Sommer.
D’autre nous expliquent comment ça se passe dans leur corps et leurs esprits lorsqu’ils sont en transe ou en plein moment médiumnique. Mischa Harmeijer.
Une journaliste Patricia Darré, après un accident se découvre un don médiumnique et nous explique la survivance de l’âme et son don de medium de plus en plus fort dans sa vie.
Bruno Charvet, qui comme moi préfère aider les vivants plutôt que les morts.
Qu’est-ce qu’un medium?
Les diverses facultés que l’homme ou l’animal peut avoir sur la matière ou l’invisible (reportage) :
R’évolution verte (alias Eve)
Les enfants de Gaïa - Le blog 
Bon courage et merci pour ces témoignages. Om mani pémé Houng!
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